[L’île de Ryordant. Tous les 20 ans, une jeune vierge doit être sacrifiée au « monstre de la mer » pour que la prospérité règne. Shantalia, âgée de 18 ans, est le prochain sacrifice.]
Les femmes, envoyées par le Grand Parlant, me vêtissent de sous-vêtements incrustés de pierreries. J’entends, au loin, les pleurs de joie de mes parents. Devrais-je être heureuse ? Je vais assurer la prospérité de notre île, mais à quel prix ? Ensuite, elles me font monter dans une barque décorative, utilisée par toutes les sacrifiées qui sont passées avant moi, et des hommes musclés me transportent jusqu’à la plage. Une ribambelle de gens me regarde passer. Certains chantent mes louanges, d’autres honorent le monstre de la mer. Cette créature n’a jamais eu de nom défini. Tout ce que je sais, c’est qu’elle prend des sacrifices tous les vingt ans.
Dès que j’arrive à la plage, une femme, dont le corps a été peint aux couleurs de la mer, me fait descendre de la barque et elle m’amène devant le Grand Parlant. L’homme qui aurait, supposément, le pouvoir de parler au monstre. Il me récite ce qu’il a récité à de nombreuses jeunes femmes avant moi. Que j’ai été choisie par le monstre de la mer. Que je devais le rejoindre dans les profondeurs de l’océan pour que notre île prospère. Au moins, je sais une chose sur ce monstre, il n’a pas de préférence. Mince ou grassette. Peau blanche, rosée, cuivrée, brune ou noire. Peu importe. Il les prend toutes. Ensuite, le Grand Parlant m’ordonne de me rendre à la mer, et la femme au corps peint commence le chant du Sacrifice.
C’est l’heure. Je dois aller dans l’eau et me noyer, mais je ne veux pas mourir. Alors que je commence à marcher vers la mer, et que l’eau arrive à mes genoux, je pense à un plan d’évasion. C’est de la folie, mais je peux nager. Je n’ai qu’à trouver terre donc je commence à nager. J’entends à peine le Grand Parlant pousser un juron. Je nage, je m’éloigne de l’île... Puis quelque chose m’attrape par la cheville et m’entraîne sous l’eau. Mes yeux se ferment. Je n’arrive plus à respirer. Si je dois mourir ici, autant garder les yeux ouverts. Je veux le voir, ce « monstre de la mer ».
J’ouvre les yeux, mais je vois flou. Malgré tout, j’aperçois une créature noire et difforme. Elle a plein de tentacules. Soudain, l’un d’entre eux dépose ce qui semble être une protection magique autour de ma tête et j’arrive à respirer. Ma vision s’éclaircit et je crie d’effroi. Les tentacules de la créature jouent avec les corps des sacrifices précédents. Je vois une femme blonde pousser un cri de plaisir alors qu’un tentacule entre doucement dans son trou du cul. Une autre femme, une brunette à la peau foncée, a un tentacule dans sa bouche et elle le suce. Un autre tentacule touche doucement sa fleur avant de pénétrer dans son trou d'amour. Une troisième femme, qui est très âgée, à ses seins massés durement par deux tentacules. Entre deux gémissements, elle me dit que, si je me comporte bien, je vais vivre éternellement.
« Et si je me comporte mal ? » Demandé-je à la vieille dame.
« Eh bien, il te punira et, si tu continues à faire des bêtises, il te tuera, comme il a tué Maribelle. J’avais prévenu Maribelle de ne pas mordre — »
Un troisième tentacule s’enfonce violemment dans son trou d'amour et la femme hurle de douleur.
« Tu vois ? » Me dit-elle. « Je me suis mal comportée en te parlant. »
« Mais — »
La vieille femme m’interrompt en hurlant de me taire. Un autre tentacule va dans sa bouche, l’empêchant de parler davantage.
Je regarde ma cheville. Un tentacule la tient bien solidement. Je tente de me libérer, alors la créature m’envoie d’autres tentacules. Mes bras se retrouvent ligotés, mes jambes écartées, et je crie alors que mes sous-vêtements sont arrachés. Deux tentacules commencent à masser mes seins doucement alors qu’un troisième caresse mes fesses. Parfois, ils vont également téter mes mamelons gentiment. Les tentacules me tenant les jambes et les bras me caressent également. Je gémis, bien malgré moi, et je commence à pleurer. Sans doute pour taire mes jérémiades, un tentacule se force dans ma bouche et un liquide doux remplit mon palais. Je suis obligée de l’avaler pour ne pas m’étouffer puis une voix douce, mais aussi grave, résonne dans mon esprit.
< Bonjour, ma mignonne. Je suis Corali'hulu, celui que toi et les habitants de cette île appelez le « monstre de la mer ». >
Je remarque alors, sur le grand corps de la créature, des petits yeux jaunes. Ils me regardent fixement. J’hurle dans ma tête.
< LAISSE-MOI PARTIR TOUT DE SUITE ! >
Je me m’attendais pas à ce qu’il me répondre.
< Ne sois pas dure avec moi. Tu ne voudrais pas perdre ta pureté violemment, n’est-ce pas ? >
Je sursaute de surprise et de peur. Il est possible de communiquer mentalement avec Corali'hulu. Le monstre continue de parler.
< Regarde-toi. Ton beau petit trou d’amour. Tu ne voudrais pas que j’entre durement dedans, n’est-ce pas ? Alors, sois une gentille fille, et détends-toi. >
< Mais je… >
Les tentacules continuent de me caresser. Je continue de boire du liquide et je sens que mon entre-jambes est mouillé.
< Tu ne peux pas fuir. Tu es mienne, comme toutes ces autres femmes. Vos corps calment ma solitude éternelle et me procurent, oh, tellement de plaisir ! >
Je réplique avec un autre « mais… ! ». Je ne veux pas me faire violer par ce monstre tentaculaire. Corali'hulu semble ignorer mes paroles car il continue de parler.
< Je vais être très gentil avec toi, je te le promets, alors ne résiste pas. >
Voulant trouver une solution, et conservé ma virginité, je demande au monstre ce qu’il veut dire par « ma solitude éternelle ».
< Eh bien, je vis seul car je suis le seul de mon espèce. Les dieux en ont décidé ainsi. Mon plus grand rêve serait d’avoir une progéniture mais, j’ai beau essayer avec toutes ces sacrifiées, cela ne marche pas. >
Je ne m’attendais pas à cela. Je lui pose une autre question pour tenter de le distraire.
< Et que penses-tu des gens de Ryordant ? >
< Ce sont des imbéciles ! Parce qu’il y a eu des malheurs dans leurs vies, ils pensent que je contrôle *leur prospérité* ? Je n’ai aucun pouvoir sur eux, mais je ne me plains pas. Toutes ces belles, à moi. À moi seul. >
Avec horreur, je vois un tentacule s’approcher de mon entre-jambes. Mon idée de distraction ne marche pas.
< C’est l’heure, ma belle. > Dit Corali’hulu. < Détends-toi. Ne dis plus rien et laisse-moi entrer dans ton sanctuaire, ô jolie vierge. >
Alors je tente le tout pour le tout.
< ATTENDS ! Ne me souille pas ! J’ai un plan, tu vas adorer. Je pourrais t’aider à te libérer de cette solitude. Nous n’avons qu’à envahir l’île et tu pourras avoir toutes les femmes que tu veux. Tu ne serais plus *jamais seul* et, qui sait ?, peut-être pourras-tu avoir un enfant — >
Corali’hulu m’écoutais, au début, puis il se met en colère. Il hurle une insulte avant de pénétrer violemment mon hymen. Mon cri de douleur est étouffé par le tentacule qui est toujours dans ma bouche. Ses autres tentacules se mettent alors à me toucher avec violence. Finies, les gentilles caresses. Je hurle dans mon esprit et le monstre rit en douceur.
< Je t’avais prévenu, ma jolie. Si tu avais été plus obéissante — >
Il retire son tentacule de mon trou sacré avec autant de dureté et il le fait rentrer à nouveau. Encore. Et encore. Et encore.
< J’aurais été gentil avec toi, mais tu as préféré me provoquer. IMBÉCILE ! >
Un autre tentacule entre durement dans mon trou du cul. Corali’hulu rit encore et ses tentacules continuent de me pénétrer rapidement et violemment. Je pleure de plus en plus et j’ai l’impression que je vais exploser de l’intérieur.
< Allons, jouie, jouie pour moi ! >
Ses deux tentacules me repénètrent, restent dans mes deux trous et Corali’hulu, tout en poussant un orgasme, les font vibrer. Le tentacule dans ma bouche se retire, je pousse un long cri, et du liquide coule sur les deux tentacules. Le monstre de la mer est heureux. Quant à moi, je pleure toujours, j’ai le tournis et j’ai mal partout, mais je refuse d’abandonnée.
< Corali’hulu ! Je… Je refuse d’abandonnée. Envahissons Ryordant ensemble ! Je… Je préfère être ta… ta femme plutôt qu’un jouet sexuel ! >
Il ne s’attendait pas à ce que je dise ça.
< Quoi ? Tu voudrais être… mon épouse ? >
Je lui dis mentalement que « oui » et, qu’ensemble, nous pourrons conquérir l’île.
< Ça… C’est incroyable… Personne n’a jamais… Je serais heureux d’être ton mari. Cependant, envahir l’ile est impossible. Je ne peux pas respirer hors de l’eau. >
Je lui dis mentalement qu’il doit bien y avoir un moyen. Corali’hulu réfléchit pendant longtemps, puis il me dit qu’il a une solution.
< Toi et moi, nous devons ne faire qu’un. C’est un rituel bien simple, mais tu ne DOIS PAS résister, compris ? >
< Compris. >
Corali'hulu retire tous ses tentacules de moi d’un coup sec. Mes yeux s’écarquillent alors que je vois le monstre de la mer tuer toutes les autres femmes prisonnières et dévorer leurs corps, avec sa grande mâchoire remplie de dents. Ensuite, il m’attache à nouveau avec ses tentacules et il m’explique doucement que nous devons faire l’amour pour unir nos âmes. Malgré la grande douleur de mon agression, je me contente de hocher la tête. Le provoquer serait une terrible idée.
Corali'hulu me caresse de partout, en douceur. Mes seins, mes fesses, mes bras, mes jambes. Son tentacule taquine mon trou entre mes jambes, en touchant lentement ma perle, avant de le pénétrer à nouveau. Celui de mon derrière est aussi pénétré. Je ne me débats pas et, c’est très étrange, mais mon corps tressaille de plaisir alors qu’il vient d’être victime d’un viol.
< Ahhhh ~ ♫. > Dit Corali’hulu en extase. < Reçois mon liquide d’amour, ma mie… oh, mais je ne connais pas ton nom. >
< C’est… ahhh ♫… Shantalia. >
< Ah… *Ma* belle Shantalia ! >
Son sperme, chaud et doux, se déverse en moi, puis tout devient flou. J’aperçois le corps de la créature se décomposer en accéléré, ses tentacules me libèrent, puis plus rien.
[Plus tard, sur l’île de Ryordant.]
Le Grand Parlant est couché au sol, nu. Son dos a été fouetté et du sang coule abondamment. Ses ongles ont aussi été arrachés.
« Pardonnez-moi, ô grand Corali'hulu ! » Dis l’homme rapidement. « Je ne voulais pas— »
« TAIS-TOI ! Croyais-tu avoir le droit *de toucher* à MA déesse ? »
Corali’hulu est celui qui parle mais sa voix sort de ma bouche. Après tout, ne nous faisons qu’un maintenant, et c’est lui qui a le contrôle de mon corps en ce moment. Le Grand Parlant tente de se défendre.
« Je voulais seulement lui offrir— »
Mais Corali’hulu se moque de ses excuses.
« Je sais TRÈS bien ce que tu voulais lui offrir ! *Tes graines infectes* ! C’EST UNE HONTE ! »
L’homme, à court d’idées, bredouille des excuses. Corali’hulu lui fait rappeler que je suis à lui. Il est le seul qu’il a le droit de me toucher. Enfin, Corali’hulu et les hommes que je veux bien avoir dans mon lit. L’ancien monstre de la mer est tout sauf possessif. Je peux coucher avec qui je veux tant que mon cœur, mon amour reste à lui.
« Et sache, Grand Parlant, que son premier enfant sera de moi, *DE MOI* ! Il suffit que nous trouvions un moyen de créer mon sperme, de le rendre fertile et... Bref, HORS DE NOS VUES ! »
L’homme, tout en hurlant grâce, est jeté hors de la pièce par des gardes armés jusqu’aux dents. Ceux-ci le regardent d’une drôle de façon. Alors que le Grand Parlant s’apprête à leur demander pourquoi ils le regardent comme ça, une voix de femme, autoritaire et puissante, se met à crier un ordre. C’est *ma* voix. J’ai le contrôle de mon corps maintenant.
« TUEZ-LE ! »
J’entends un faible cri puis le silence règne. Corali'hulu prend à nouveau le dessus sur mon corps.
« Une bonne chose de faite. » Dit-il à voix haute. « Maintenant... »
Il utilise mes mains pour ôter mes vêtements et il admire ma chatte.
« …laisse-moi ♥ aimer ♥ ta jolie perle avec tes doigts délicats. »
Corali'hulu cercle lentement ma perle avec mon doigt, puis il la presse doucement. Je deviens rapidement mouillée à l’intérieur de mon trou d’amour.
« Ahhh~ ♫ Me veux-tu déjà en toi ? Ma déesse… ♥ »
Il entre mes doigts dedans et je gémis. Il me caresse de l’intérieur et nous gémissons ensemble. Il utilise mon autre main pour masser mon sein droit. Ma chatte est sous son contrôle et il fait trembler mon corps de plaisir.
« Ouiii ~ ♥ Ma belle, ma divine Shantalia ! »
Il me fait gémir de plus en plus fort. Je suis toute à lui, et il est tout à moi. L'île de Ryordant est sous notre contrôle et je me demande si nous pouvons aller plus loin ?
« Désires-tu le monde, ma mie ? » Me demande Corali’hulu. « C’est beaucoup me demander. »
Je ne pense pas à dominer le monde. Pas encore en tout cas. Je suis bien heureuse ici, sur l’île, et puis comment pouvons-nous conquérir le monde, Corali’hulu et moi ? Il a bien des pouvoirs magiques, mais bon.